Deux scènes tragiques à soixante-dix ans d’écart, deux situations nées de la même haine de l’autre et de la même intolérance, l’homme victime qui torture à son tour…

J’en ai assez de danser, je vais m’asseoir au bar. Je commande une tequila, en faisant au barman mon plus grand sourire. Regarde-moi. Plonge tes yeux dans les miens (…) Voilà, un regard appuyé, mon plus beau sourire, deux phrases accrocheuses et il est ferré.