Ce roman de Gisèle Prevoteau met en scène, avec beaucoup d’élégance et de réalisme, les parts d’ombre et de lumière avec lesquelles tout individu compose au quotidien. Son écriture sensitive montre du doigt les principaux fléaux de notre civilisation que sont le stress, le chômage et la solitude.

Fables d’un nouveau genre, les textes de ce recueil constituent un concept à part dont chaque séquence se compose de trois parties. Selon le ton employé, « Merde, je vis… » peut donc exprimer aussi bien l’admiration que la consternation, tout étant affaire « d’état d’âme ou d’esprit » et du regard porté sur la vie.

Que sont nos villes devenues ? Et leurs habitants aussi ? Tels sont les questionnements des personnages issus de ces sept contes qui rejoignent les Editions iPagination, des contes pour réinventer la société…