L’apprentissage de la complexité des sentiments et l’inexplicable difficulté de grandir avec la sensation de vide qui l’accompagne entraînent Nathanaël à fuir l’existence plutôt qu’à la vivre. Après « Lila », Laurence Délis signe avec « Nathanaël » une suite très émouvante.

Quand le pinceau de Missmytic remplace la plume pour refléter des sentiments peints touche à touche sur la toile de la vie…
Quand cette peinture devient lecture… Cela donne un très joli tableau aux couleurs changeantes, tour à tour sombres et lumineuses.